Les médias parlent ci-dessous de nos derniers communiqués de presse:
Bruxelles, vendredi 20 décembre 2019 : Plus de 10.900 citoyens dont 2.500 professionnels de la santé opposés à la proposition de loi avortement
Bruxelles 8 mars 2020 : Alerte Fake News RTBF : La réalité est que le délai légal moyen de l’IVG est inférieur à 12 et non 18 semaines dans les pays de l’UE.
Dans CE TABLEAU, l’Institut Européen de Bioéthique présente l’analyse de l’entièreté des auditions parlementaires des 20 experts, tenues en mai-juin 2018 sur la révision de la loi avortement. Il s’avère qu’une large majorité des experts auditionnés ne se sont pas prononcés sur 7 des 9 mesures phares en passe d’être adoptées.
Une pétition a été lancée le 26 novembre dernier. Elle rassemblait lundi 9 décembre 1.680 signatures et 3.200 citoyens. Les soignants signataires s’opposent à l’élargissement de la loi avortement et notamment l’allongement du délai de 12 à 18 semaines après la conception. Ils refusent qu’on en fasse un » acte médical à part entière « .
L’interruption volontaire de grossesse est toujours un échec. Aucune femme n’y recourt sans souffrance. Les femmes qui sont amenées à renoncer à une grossesse, à fonder ou à agrandir une famille, sont dans un état de détresse tel qu’elles préfèrent ne pas vivre le bonheur d’une maternité…
« Allonger le terme provoquera des problèmes psychologiques chez la patiente, la mère« , affirme-t-il. « Je trouve que la loi existante est suffisamment large et correcte. Décider en 12 ou 24 heures, c’est prendre une décision trop hâtive.«
Zowat 750 artsen, vroedvrouwen en andere zorgkundigen hebben nu een open brief verstuurd aan de parlementsleden met de vraag van het wetsvoorstel af te zien. De brief staat in De Morgen en La Libre. Volgens de ondertekenaars gaat abortus op een foetus van achttien weken te ver.
Als de nieuwe abortuswet gestemd wordt, zal de N-VA – als we in de regering komen – die terugdraaien.’ Valerie Van Peel, de luidste proteststem tegen de versoepeling van de wet, windt er geen doekjes om: abortus is een breekpunt voor regeringsdeelname van de N-VA
Plutôt discret jusqu’ici sur la modification de loi IVG, le cdH monte le ton et muscle les débats depuis quelques jours. Si contrairement à son homologue néerlandophone du CD&V, le parti de la rue des Deux Églises n’a pas le droit de vote en commission, Catherine Fonck d’un côté, Maxime Prévot de l’autre, les poids lourds du parti sortent du bois sur le sujet pour tenter de se faire entendre.
Xavier de Muylder, gynécologue-obstétricien considère que le travail parlementaire sur l’IVG est allé trop vite pour pouvoir traiter toutes les problématiques liées au recul du délai d’avortement. « Nous avons une bonne loi en Belgique, on peut interrompre les grossesses au premier trimestre ».
Avortement : plutôt que d’améliorer la situation des plus de 120 000 femmes belges qui chaque année subissent des conditions de congés de maternité parmi les plus défavorables d’Europe, les politiques se perdent dans des considérations purement idéologiques.
Chers députés, chers mandataires, chère présidente et cher président de parti, dans tous les combats que vous menez, ou peu s’en faut, vous visez juste, nous vous le concédons. Mais, vous vous engagez aujourd’hui sur une voie où nous ne pouvons vous suivre: […] en l’absence de tout débat public, vous cherchez en effet à faire passer en grande hâte un projet de loi visant à élargir le délai d’avortement à 18 semaines […]